L’imprimerie : Impression publicitaire sur Internet
Besoin d’imprimer et d’un devis pour les produits publicitaires suivant :
– Flyers, prospectus, tracts (A4, A5, A6)
– Brochures et catalogues
– Dépliants & Plaquettes
– Carte de visite, carte de fidélité, carte de correspondance
– Affiche, banderole, panneau
– Documents divers papier
De nos jours, imprimer sur L’imprimerie séduit plus de monde que les services d’impression effectués en local, et ce pour de multiples raisons. Nous allons tenter de comprendre pourquoi.
Impression sur Internet : un service accessible partout
L’un des plus gros avantages du service d’impression en ligne est sa facilité d’accès. L’outil principal étant Internet, il suffit d’avoir à sa disposition une connexion et on peut alors accéder à ces services. Sans condition d’heures ou de lieux, les services sont disponibles et bien entendu aucun déplacement n’est nécessaire. L’ensemble des opérations s’effectue en ligne sur Imprimerie.cc.
Impression sur Internet : un service pratique et compétitif
Comme bon nombre de secteurs professionnels, l’univers de l’imprimerie a lui aussi été touché par la vulgarisation des instruments virtuels et le pouvoir d’Internet.
En raison de la souplesse et de la rapidité offertes par la Toile, les internautes peuvent désormais profiter d’un service très pratique et compétitif pour leurs projets de réalisation de supports imprimés.
Quelques clics suffisent pour trier les produits qui intéressent les clients, produits qui sont en outre personnalisables. La livraison est effectuée en un temps record à des tarifs concurrentiels.
Grâce au savoir-faire et au sérieux des professionnels de l’impression à petit prix, tout le monde (professionnels comme particuliers) y trouve son compte en toute simplicité.
Impression sur Internet : un service à moindre coût
Quel que soit le support dont on ait besoin, un Post-it publicitaire, des affiches, des dépliants, des roll up, des dépliants, des calendriers, des cartes de visite, des sets de table publicitaires, recourir aux services d’impression sur le web est réputé être le moyen le plus économique.
Grâce à des stratégies d’impression en perpétuelle innovation et avec une qualité sans égale, à l’adoption de techniques de production adaptables aux attentes des clients, le service d’impression en ligne offre aujourd’hui des solutions fiables.
En adaptant les machines en fonction des techniques d’impression (en utilisant des modèles d’imprimantes spécifiques à l’impression de grands formats ou toute autre technique d’impression), le monde de l’impression en ligne a su s’adapter à des contraintes financières pour donner entière satisfaction à ses clients, professionnels comme particuliers.
Le procédé offset
Inventé en 1976 par Senefelder et connu également sous le nom de “lithographie”, le procédé offset était basé sur la répulsion de l’encre par les zones de la surface qui étaient humidifiées et l’étalement de cette même encre sur des zones non humidifiées. A notre époque, cette technique d’impression s’est fortement développée techniquement, mais le principe de base reste le même.
Ce procédé tire son nom de la présence d’une surface intermédiaire entre la forme imprimante et le support lui-même : le blanchet. Celui-ci est un matériau caoutchouteux destiné à reporter l’image de la plaque sur le support. Le procédé offset est donc classé parmi les procédés d’impression indirecte. Il existe deux catégories de procédés offset que vous pouvez donc choisir, à savoir l’offset conventionnel et l’offset waterless.
L’offset conventionnel
Ce type de procédé offset est un procédé d’impression planographique. Sa forme imprimante est plane, à la différence des autres comme l’héliogravure ou la flexographie. La différence de profondeur entre les zones imprimantes et les zones non imprimantes est de l’ordre du micromètre. Ce n’est pas un phénomène physique qui sépare les zones imprimantes et les zones non imprimantes mais un phénomène physico-chimique, c’est-à-dire que le principe de base de l’offset humide repose sur la solution du mouillage et l’encre elle-même.
Par ailleurs, la plaque est traitée au préalable de manière à ce que les zones imprimantes soient hydrophobes (chassent l’eau) et les zones non imprimantes hydrophiles (captent l’eau). Cette plaque, qui est généralement à base d’aluminium, est grainée et anodisée afin de mieux attirer l’eau dans les zones non imprimantes, puis elle est recouverte d’une fine couche de polymère sur les zones imprimantes.
Le principe de l’offset conventionnel consiste à déposer la solution de mouillage contenant une majorité d’eau sur les zones non imprimantes et l’encre sur les zones imprimantes. Il n’existe pratiquement pas de répulsion entre la solution de mouillage et l’encre. Afin de garantir un transfert efficace, il est important qu’une certaine quantité de solution de mouillage pénètre dans l’encre. Donc, c’est une émulsion de solution de mouillage dans l’encre qui se forme du côté des toucheurs encreurs, derniers rouleaux du système d’encrage en contact avec la plaque. La solution de mouillage s’étale un peu, très difficilement sur les zones imprimantes.
Durant l’impression, la solution de mouillage se place aisément sur les zones non imprimantes de la plaque et plus difficilement sur les zones imprimantes. Au moment où l’encre s’étale sur la plaque mouillée, elle est de ce fait repoussée par les zones non imprimantes alors que les zones imprimantes lui permettent de s’étaler facilement.
L’offset waterless
C’est une exception à ce principe. Il est qualifié d’offset du fait de la présence d’un blanchet intermédiaire afin de reporter l’encre, et waterless du fait de l’absence de solution de mouillage. Le procédé de répulsion entre la solution de mouillage et l’encre est remplacé par la répulsion entre le silicone et l’encre, le silicone étant le composé de la plaque constitutif des zones non imprimantes. L’encre se place de ce fait sur les zones non siliconées, qui sont légèrement creuses. La difficulté de ce procédé consiste à maintenir la viscosité des encres stable au cours de l’impression, ce qui est facilité par la présence d’un système de refroidissement des cylindres d’encrage et du cylindre porte-plaque.
Les différents éléments du procédé offset
Pour pratiquer l’impression d’un support par le biais du procédé offset, deux éléments sont importants, à savoir la presse, dont le système central d’impression est doté d’un cylindre porte-plaque, d’un cylindre porte-blanchet, d’un cylindre de contre-pression, d’un système de mouillage, d’un système d’encrage, et les consommables (support papier, carton, plastique, etc., solution de mouillage, blanchet et encre).
En ce qui concerne les presses
Les presses se divisent généralement en deux grandes catégories, à savoir les presses à feuilles et les rotatives à bobines. Leurs configurations sont très variées en termes de capacités de production et de formats.
Les presses à feuilles sont spécialement destinées à des tirages de l’ordre de quelques milliers à quelques dizaines de milliers de feuilles, alors que les rotatives sont beaucoup plus rentables pour les tirages encore plus importants. Actuellement, il est tout à fait possible d’imprimer en feuilles de très grands formats à des vitesses capables d’atteindre les 15 000 feuilles par heure, sur des machines configurables jusqu’à 10 couleurs en ligne, ce qui leur fait atteindre des longueurs d’une quinzaine de mètres.
Les rotatives à bobines sont aptes à imprimer à des vitesses allant jusqu’à 15 mètres par seconde, avec une configuration qui peut atteindre les 64 pages, soit une vitesse de 40 000 exemplaires de 64 pages en une heure. La vitesse moyenne de travaux traités en heatset est de 25 000 impressions par heure. Cependant, les rotatives sont moins souples en termes de variations de format et sont limitées aux supports peu épais.
Concernant les consommables
On trouve tout d’abord la solution de mouillage, qui a pour fonction de protéger les zones non imprimantes de la plaque ainsi que d’émulsionner l’encre. La solution de mouillage est composée en grande partie d’eau (77 à 98 %) additionnée d’alcool isopropylique et d’un additif. L’alcool isopropylique a pour rôle de faciliter le mouillage de la plaque tout en augmentant la viscosité de la solution de mouillage et d’améliorer en même temps l’émulsionnement de l’encre. Son évaporation permet de refroidir les rouleaux tout en maintenant les caractéristiques de l’émulsion. Quant à l’additif, ce dernier est spécialement destiné à réduire la tension superficielle tout en empêchant les bactéries et autres micro-organismes ainsi que le dépôt de sels insolubles de se développer.
Ensuite vient le papier, un support d’impression qui va recevoir l’encre sur sa surface, l’absorber sans excès afin de garder un visuel intense et brillant. Un papier couché aura un meilleur rendu après impression, tandis qu’un papier non couché contiendra des éléments destinés à empêcher une absorption d’eau plus importante pour favoriser le séchage des encres et ne pas déformer les papiers, ainsi que des constituants modifiant sa blancheur ainsi que son opacité.
Enfin, on retrouve le blanchet qui a pour fonction de garantir le transfert de l’image qui peut s’effectuer grâce à son caractère élastique. En effet, le blanchet doit épouser les irrégularités du papier étant peu sensible à son abrasion. Il protège par ailleurs la plaque de l’abrasion. En même temps, le blanchet doit absorber des variations d’épaisseur (passage de deux ou plusieurs feuilles).